Actualités :
06.08.25
UN PREMIER LONG-MÉTRAGE À 60 000 EUROS : MISSION (IM)POSSIBLE ?
Par Aurélien Harzoune et Bertrand Mineur, réalisateurs et producteurs du film Dans l’ombre de Marlow, sortie en salles le 3 septembre 2025. Réaliser un film indépendant constitue déjà une aventure. S’y engager dans un désert, sans...
Lire la suite28.07.25
Francis Lai revisité
Initié par Frédéric Lai, fils du compositeur, et Thierry Wolf, fondateur du label FGL Productions, « Play It Like Francis » est un projet hommage ambitieux qui fait dialoguer la mémoire musicale du cinéma français avec la vitalité de la...
Lire la suite04.04.25
Un disque inspiré par RoboCop
Dans le sillage d'un ciné-concert remarqué au festival "Les Utopiales" de Nantes, le groupe FRAGMENTS sort un disque inspiré par le film culte de Paul Verhoeven, "RoboCop" (1987). En 12 titres, "Delta City" (2025) capture l’essence des...
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02.06.25
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Film : La Montagne
La montagne magique
Réalisateur : Thomas Salvador
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'article14.04.25
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Film : Bons Baisers de Bruges
La justice des fous
Réalisateur : Martin McDonagh
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'article09.12.24
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Film : Freaks
On ne naît pas monstre, on le devient
Réalisateur : Tod Browning
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'articleVotre choix : Dialogues d’exilés
Numéro : 56
Titre : Dialogues d’exilés
Parution : Juin 2015
Prix : 2 €
Description :
La bande originale de Little Odessa (1994) se compose de pièces originales signées Dana Sano, de morceaux signés et/ou interprétés par des musiciens, compositeurs ou chanteurs russes, ce qui, dans le contexte, n’a rien de surprenant : Gueorgui Sviridov (1915-1998), Anatoly Mogilevsky, Emanuil Sheynkman, Boris Krachenko, et de deux morceaux de l’Estonien Arvo Pärt. On le sait, la famille de James Gray est originaire de Russie et fut victime de persécutions antisémites, comme celle des personnages du film. Plus tard, James Gray, qui a grandi dans le Queens, a fréquenté le quartier de « Little Odessa », qui était synonyme pour lui de lieu de défoulement, sinon de perdition. Ce quartier, pour le cinéaste, est donc très lourdement connoté : à la fois comme rappel douloureux du pays d’origine, et comme mémoire des frasques de jeunesse. Cela se retrouve dans les deux frères du film, qui incarnent la personnalité dissociée du cinéaste : un Moi « habité » par les origines russes, un autre tourné vers l’Amérique…
Auteur : Jérôme Lauté
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