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06.08.25
UN PREMIER LONG-MÉTRAGE À 60 000 EUROS : MISSION (IM)POSSIBLE ?
Par Aurélien Harzoune et Bertrand Mineur, réalisateurs et producteurs du film Dans l’ombre de Marlow, sortie en salles le 3 septembre 2025. Réaliser un film indépendant constitue déjà une aventure. S’y engager dans un désert, sans...
Lire la suite28.07.25
Francis Lai revisité
Initié par Frédéric Lai, fils du compositeur, et Thierry Wolf, fondateur du label FGL Productions, « Play It Like Francis » est un projet hommage ambitieux qui fait dialoguer la mémoire musicale du cinéma français avec la vitalité de la...
Lire la suite04.04.25
Un disque inspiré par RoboCop
Dans le sillage d'un ciné-concert remarqué au festival "Les Utopiales" de Nantes, le groupe FRAGMENTS sort un disque inspiré par le film culte de Paul Verhoeven, "RoboCop" (1987). En 12 titres, "Delta City" (2025) capture l’essence des...
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02.06.25
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Film : La Montagne
La montagne magique
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La justice des fous
Réalisateur : Martin McDonagh
Auteur : Paul Montarnal
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Film : Freaks
On ne naît pas monstre, on le devient
Réalisateur : Tod Browning
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'articleVotre choix : Jours jaloux
Numéro : 69
Titre : Jours jaloux
Parution : Décembre 2021
Prix : 2 €
Description :
À en croire Claude Chabrol lui-même, la jalousie lui serait étrangère : « on m’a beaucoup reproché d’avoir traité de la jalousie, alors que je ne suis pas jaloux. Comme moi je voudrais que les gens soient heureux, parce que ça me rend plus heureux quand les gens sont heureux que quand ils ne le sont pas, je ne suis pas jaloux ». Pourtant, Chabrol a thématisé à plusieurs reprises la jalousie (ou l’envie) de façon centrale. Nous traiterons ici plus particulièrement de deux films du cinéaste : L’Œil du malin (1962) et Folies bourgeoises (1976). Nous n’évoquerons pas L’Enfer (1994) car il s’agit d’une modalité très particulière, peu représentative de ce sentiment, la jalousie paranoïaque (« Jaloux parce que fou, et non pas fou parce que jaloux » disait Chabrol), ni Une partie de plaisir (1975), étudié à part dans le présent volume.
De façon schématique, on pourrait dire que chacun de nos deux films décline une forme de jalousie (ou d’envie) : l’envie sociale (L’Œil du malin), la jalousie amoureuse (Folies bourgeoises). Ce qui ne va pas sans une certaine dimension politique : l’un critique de la bourgeoisie, l’autre de la domination masculine…
Auteur : Aurélien Gras
