Actualités :
04.04.25
Un disque inspiré par RoboCop
Dans le sillage d'un ciné-concert remarqué au festival "Les Utopiales" de Nantes, le groupe FRAGMENTS sort un disque inspiré par le film culte de Paul Verhoeven, "RoboCop" (1987). En 12 titres, "Delta City" (2025) capture l’essence des...
Lire la suite03.04.25
Tous nos volumes à 10 euros
Pour célébrer le printemps, tous nos volumes sont disponibles à 10 euros (au lieu de 15) jusqu'au 30 juin 2025. En exclusivité sur notre site www.revue-eclipses.com Offre valable uniquement en France métropolitaine.
Lire la suite23.01.25
Info parution : "De Palma, Mana, Cinéma. L'Impasse (Carlito's Way, 1993), par Jean-François BUIRÉ
Notre ami et collaborateur occasionnel Jean-François BUIRÉ signe un livre percutant, intégralement consacré à Carlito's Way (L'Impasse), l'un des meilleurs films de Brian DE PALMA. Nous conseillons donc vivement la lecture de cette analyse...
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14.04.25
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Film : Bons Baisers de Bruges
La justice des fous
Réalisateur : Martin McDonagh
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'article09.12.24
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Film : Freaks
On ne naît pas monstre, on le devient
Réalisateur : Tod Browning
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'article19.04.12
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Film : Le Locataire
Elle et l’huis clos (3/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'articleVotre choix : Le cinéma comme art tragique
Numéro : 43
Titre : Le cinéma comme art tragique
Parution : Novembre 2008
Prix : 2 €
Description :
Les films de Francis Ford Coppola puisent dans une tradition mythologique chère au cinéma américain (Vidor, Welles, et, bien sûr, Scorsese…), celle du héros révolté. Les échos d’Icare, de Faust ou de Prométhée résonnent dans une oeuvre qui, bien que liée très fortement au « Nouvel Hollywood », repose sur un axiome du Hollywood classique, la sublimation de l’individu, incarnation d’une passion exclusive qui se dresse contre tous les ordres susceptibles de la contraindre.
S’il faut chercher une unité dans un ensemble dont les productions sont stylistiquement éloignées les unes des autres (il y a loin de la flamboyance viscontienne des Parrain – 1972, 1974 et 1990, à la sobriété minimaliste de l’Idéaliste – 1990), elle réside, sans doute, dans ce thème qui se prête aussi à une lecture réflexive, celle du cinéaste luttant dans et contre un univers qui ne cesse de vouloir l’étouffer…
Auteur : Gaëlle Lombard
