Actualités :
04.04.25
Un disque inspiré par RoboCop
Dans le sillage d'un ciné-concert remarqué au festival "Les Utopiales" de Nantes, le groupe FRAGMENTS sort un disque inspiré par le film culte de Paul Verhoeven, "RoboCop" (1987). En 12 titres, "Delta City" (2025) capture l’essence des...
Lire la suite03.04.25
Tous nos volumes à 10 euros
Pour célébrer le printemps, tous nos volumes sont disponibles à 10 euros (au lieu de 15) jusqu'au 30 juin 2025. En exclusivité sur notre site www.revue-eclipses.com Offre valable uniquement en France métropolitaine.
Lire la suite23.01.25
Info parution : "De Palma, Mana, Cinéma. L'Impasse (Carlito's Way, 1993), par Jean-François BUIRÉ
Notre ami et collaborateur occasionnel Jean-François BUIRÉ signe un livre percutant, intégralement consacré à Carlito's Way (L'Impasse), l'un des meilleurs films de Brian DE PALMA. Nous conseillons donc vivement la lecture de cette analyse...
Lire la suiteLes derniers articles
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14.04.25
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Film : Bons Baisers de Bruges
La justice des fous
Réalisateur : Martin McDonagh
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'article09.12.24
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Film : Freaks
On ne naît pas monstre, on le devient
Réalisateur : Tod Browning
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'article19.04.12
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Film : Le Locataire
Elle et l’huis clos (3/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'articleVotre choix : Tony Clifton : image et magie
Numéro : 64
Titre : Tony Clifton : image et magie
Parution : Juin 2019
Prix : 2 €
Description :
Le onzième long métrage de Miloš Forman, Man on the Moon (1999), se conclut par une séquence de Music-hall durant laquelle une incarnation de Tony Clifton, véritable Evil Twin d’Andy Kaufman, double qu’il aura longtemps incarné, s’adonne à une performance d’autant plus improbable qu’elle a lieu un an après la disparition d’Andy. La scène, essentiellement chantée, semble se conclure en ouvrant une énigme, un Whodunit, concernant l’identité de l’acteur sur scène. Or, le privilège accordé aux gestes filmés, la démultiplication des gestes filmiques, l’énergie qui se dégage des mouvements de ce corps suggèrent que toute la séquence est une manifestation hiérophantique. On se propose ainsi d’analyser la scène en concevant qu’elle est essentiellement dépositaire d’un travail figuratif qui se confronte au Mystère de l’incarnation et que mise en scène comme montage participent d’une invention figurale qui métamorphose lieu et public en Église, chant en incantation chamanique, forces et intensité physiques en formes plastiques, personnages en une figure, corps extatique en icône. Il s’agira, autrement dit, de dévoiler par quelles inventions formelles ces derniers instants du film relèvent d’une hiérophanie qui intronise Andy Kaufman en tant que figure divine éternelle…
Auteur : Sébastien David
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