Actualités :
04.04.25
Un disque inspiré par RoboCop
Dans le sillage d'un ciné-concert remarqué au festival "Les Utopiales" de Nantes, le groupe FRAGMENTS sort un disque inspiré par le film culte de Paul Verhoeven, "RoboCop" (1987). En 12 titres, "Delta City" (2025) capture l’essence des...
Lire la suite03.04.25
Tous nos volumes à 10 euros
Pour célébrer le printemps, tous nos volumes sont disponibles à 10 euros (au lieu de 15) jusqu'au 30 juin 2025. En exclusivité sur notre site www.revue-eclipses.com Offre valable uniquement en France métropolitaine.
Lire la suite23.01.25
Info parution : "De Palma, Mana, Cinéma. L'Impasse (Carlito's Way, 1993), par Jean-François BUIRÉ
Notre ami et collaborateur occasionnel Jean-François BUIRÉ signe un livre percutant, intégralement consacré à Carlito's Way (L'Impasse), l'un des meilleurs films de Brian DE PALMA. Nous conseillons donc vivement la lecture de cette analyse...
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02.06.25
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Film : La Montagne
La montagne magique
Réalisateur : Thomas Salvador
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'article14.04.25
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Film : Bons Baisers de Bruges
La justice des fous
Réalisateur : Martin McDonagh
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'article09.12.24
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Film : Freaks
On ne naît pas monstre, on le devient
Réalisateur : Tod Browning
Auteur : Paul Montarnal
Lire l'articleVotre choix : Vers un ailleurs
Numéro : 46
Titre : Vers un ailleurs
Parution : Juin 2010
Prix : 2 €
Description :
La Habanera (1937) est un tournant dans la carrière de Douglas Sirk. Il s’agit effectivement du dernier film que le cinéaste a dirigé sur le territoire allemand avant qu’il ne décide de fuir l’idéologie nazie frappant son pays ; exil d’abord en France et aux Pays-Bas, où il participe à l’élaboration de deux films aujourd’hui très difficilement visibles (Accord final – 1938 et Boefje – 1939), puis aux États-Unis, où il réalisera une trentaine de longs-métrages de 1943 à 1959.
La Habanera et Hitler’s Madman (1943), respectivement dernier film allemand et premier film américain du cinéaste, bornent ce voyage déchirant et en offrent une sorte de commentaire. Si le premier thématise cette notion d’exil, et ceci d’une manière fort ambiguë, le second est littéralement envahi par elle, par l’expatriation de son réalisateur vers des cieux moins hostiles. Et de constater que la question de l’exil, qu’elle soit narrativisée ou subie par le travail de Sirk, conditionne la manière avec laquelle le cinéaste parle de ce régime nazi qui a radicalement changé sa vie et fait bifurquer son oeuvre.
Auteur : Michaël Delavaud
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