Actualités :
25.09.23
Éclipses N° 72 : Clint EASTWOOD, l'épreuve du temps
Consacré à Clint EASTWOOD, le volume 72 de la revue ÉCLIPSES est actuellement en cours d'impression. Il sera très prochainement disponible sur ce site (en version imprimée et aussi en PDF) ainsi que dans votre librairie préférée.
Lire la suite02.12.22
Éclipses n°71 : Invasion John CARPENTER
John CARPENTER a eu un jour pour son propre compte une formule qui raconte beaucoup, tant de son esprit que du statut particulier dont il a écopé : « En France, je suis un auteur. En Allemagne, je suis un cinéaste. En Grande-Bretagne, je suis un...
Lire la suite28.06.22
ÉCLIPSES 70 : PAUL THOMAS ANDERSON
Après neuf longs métrages, Double mise (Sydney / Hard Eight, 1996), Boogie Nights (1997), Magnolia (1999), Punch-Drunk Love (2002), There Will Be Blood (2007), The Master (2012), Inherent Vice (2014), Phantom Thread (2017) et le formidable...
Lire la suiteLa revue en bref...
Eclipses est une revue de cinéma qui paraît deux fois par an.
Eclipses est distribuée en librairie et peut également être commandée directement via ce site Internet.
Composé d’une vingtaine de contributions rédigées par des spécialistes, chaque volume de la revue Eclipses (environ 150 pages) traite de l’œuvre d’un cinéaste en particulier, envisagée sous ses différents aspects.
Les derniers articles
publiés sur le site
19.04.12
Revoir
Film : Le Locataire
Elle et l’huis clos (3/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'article17.04.12
Revoir
Film : Rosemary's Baby
Elle et l’huis clos (2/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'article16.04.12
Revoir
Film : Répulsion
Elle et l’huis clos (1/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'articleLes dernières parutions
Clint EASTWOOD
L'épreuve du temps
Coordination : Yann Calvet, Hélène Valmary
Tout en revenant sur les spécificités de la mise en scène de Clint EASTWOOD, sur son jeu avec son image et la mythologie américaine, ce numéro d’Éclipses se penche sur l’œuvre en privilégiant les films peu étudiés (comme Les Pleins pouvoirs, La Sanction, Minuit dans le jardin du bien et du mal).
On trouvera dans ce volume des textes développant des rapprochements rarement creusés (la relation Eastwood/Spielberg), des aspects de son style parfois laissés de côté (l’humour, des moments de montages signifiants, la place de la musique dans ses films), ou des gestes parfois...
John CARPENTER
Invasion
Coordination : Saad Chakali, Alexia Roux
John CARPENTER est acclamé, ses concerts cartonnent, on refait ses films. Pourtant, le maverick semble bien en avoir fini avec le cinéma, dont il aura été pendant plus de trente ans un artisan modeste et génial.
Déboulant en plein « Nouvel Hollywood », l'amateur de westerns s'est inventé un endroit très personnel à nul autre pareil, dans l'accouplement contre-nature du classicisme à la Howard Hawks avec l'imaginaire de Lovecraft. Il a ainsi renouvelé le champ des genres mineurs : le thriller urbain (Assaut), le slasher (Halloween), la science-fiction (New York 1997), le gore...
Paul Thomas ANDERSON
Arabesques
Coordination : Yann Calvet, Youri Deschamps
Après neuf longs métrages, Double mise (Sydney / Hard Eight, 1996), Boogie Nights (1997), Magnolia (1999), Punch-Drunk Love (2002), There Will Be Blood (2007), The Master (2012), Inherent Vice (2014), Phantom Thread (2017) et le formidable Licorice Pizza (2021), Paul Thomas ANDERSON est aujourd'hui considéré comme un auteur américain majeur. Ses films se caractérisent par une multiplicité de tons, oscillant entre le banal et lyrique, la chronique naturaliste et la mise en abyme opératique, qui font de lui un cinéaste baroque, ancré dans une tradition hollywoodienne très...
Claude CHABROL
Contes cruels
Coordination : Violaine Caminade De Schuytter
Soucieuse d’emmener le spectateur vers plus de lucidité, l’œuvre de Claude CHABROL emprunte très souvent le détour du cinéma de genre pour mieux sonder l’inégalité sociale ou interroger l’illusion d’émancipation à travers le sort de rêveurs qui, comme l’héroïne de Madame Bovary (1991), courent à leur perte, pour en définitive, derrière la distance du réalisme stylisé, nous rendre proches de monstres qui ne le sont guère moins que l’entourage ou la société dans laquelle ils évoluent (Que la bête meure, 1969 ; Le Boucher, 1970).
D’un film à l’autre,...
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