Actualités :
28.06.22
ÉCLIPSES 70 : PAUL THOMAS ANDERSON
Après neuf longs métrages, Double mise (Sydney / Hard Eight, 1996), Boogie Nights (1997), Magnolia (1999), Punch-Drunk Love (2002), There Will Be Blood (2007), The Master (2012), Inherent Vice (2014), Phantom Thread (2017) et le formidable...
Lire la suite13.06.22
Décès de l'acteur Philip Baker Hall
On apprend ce jour le décès de l'acteur Philip Baker Hall, acteur de second rôle, certes, mais qui a su imposer sa présence dans plus de 100 films.Il est notamment à l'affiche de trois titres importants de Paul Thomas ANDERSON, dont Hard Eight...
Lire la suite01.11.21
ÉCLIPSES Volume 69
Le volume 69 de la revue ÉCLIPSES sera consacré à Claude Chabrol et sortira en décembre 2021.
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publiés sur le site
19.04.12
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Film : Le Locataire
Elle et l’huis clos (3/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'article17.04.12
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Film : Rosemary's Baby
Elle et l’huis clos (2/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'article16.04.12
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Film : Répulsion
Elle et l’huis clos (1/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'articleVotre choix : Michael POWELL
Numéro : 53
Titre : Michael POWELL
Sous titre : à la lisière du monde
Coordination : Yann Calvet, Jérôme Lauté
Parution : Décembre 2013
Prix : 10 €
Description :
Redécouvert au début des années 2000 grâce au travail de quelques passionnés (notamment les cinéastes Martin Scorsese et Bertrand Tavernier), Michael Powell est aujourd’hui considéré comme un créateur hors normes et l’un des cinéastes les plus doués de sa génération. Le sublime technicolor des films « Archers » (la société qu’il fonde avec son collaborateur et scénariste Emeric Pressburger), la stupéfiante beauté des cadrages du Naricisse noir (1947), le sens aigu du découpage, l’utilisation des effets spéciaux dans Le Voleur de Bagdad (1940), la virtuosité opératique des Chaussons rouges (1948), constituent des exemples d’un perfectionnisme qui semble ne plus exister.
Mais au-delà de cette soudaine visibilité, concentrée surtout sur la période de 1943 à 1948 et sur son film Le Voyeur (1960), une partie très importante de sa filmographie reste cependant à explorer. A n’en pas douter, l’œuvre de Michael Powell est, par bien des aspects (esthétique, historique, culturel), d’une richesse exceptionnelle.
Au moment où se combinent l’édition DVD d’un certain nombre de films moins connus du cinéaste et la ressortie en Blu-Ray de la plupart de ses chefs-d’œuvre d’après-guerre, la revue Eclipses réinvestit l’univers inclassable de ce cinéaste, à la fois tellement britannique et si universel.
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